Une grande majorité d’entre nous doit gagner sa vie, « gagner le pain de chaque jour ». Cela se fait souvent dans la douleur. Le travail, pour beaucoup est vécu comme une malédiction, une souffrance.
L’évolution actuelle de la société et des entreprises va dans cette direction. Le pouvoir de l’argent et des gestionnaires créent dans beaucoup d’entreprises des conditions de travail difficiles : moins d’effectifs, plus de travail, perte du sens, changement permanent souvent insuffisamment expliqué et donc incompris.
Le travail en lui-même n’est pas une malédiction, à de rares exceptions près. La souffrance vient, certes d’un certain nombre de contraintes économiques, mais surtout du regard qui est porté sur lui, des croyances à son propos, des comportements de chacun, des non-dits, et de l’ambiance générale.
Elle vient aussi de mauvais choix, où l’attrait d’un salaire élevé prend souvent le pas sur les goûts et les objectifs personnels. Il y a des traders et des directeurs qui souffrent dans leur travail, même s’ils sont très bien rémunérés.
Rares sont ceux qui se posent la question de leurs besoins réels en argent pour vivre la vie qu’ils souhaitent. Nous avons tendance à viser le maximum atteignable. Or, ce maximum se paie en stress et en temps.
A l’autre extrémité, se trouvent ceux qui se sont laissé enfermer dans un travail en dessous de leurs capacités, et qui ne leur plait pas, par manque de confiance en eux et en leurs possibilités. Ce sont eux, souvent, que nous retrouvons au chômage, dégoutés du travail.
Nous proposons un séminaire intensif vers l’éveil, pour aider les uns et les autres à retrouver leur voie, celle de l’activité et de l’environnement qui leur correspond, et qui leur permettra de vivre la vie qui leur convient et de « la gagner en la gagnant ».
